Pourquoi les réseaux sociaux ne sont pas le problème mais bien la solution.
Pourquoi les médias et les politiciens accusent les réseaux sociaux.
Les accusations politiques envers les réseaux sociaux ne datent pas d’hier…
Article Atlantico (accusations de T. May). Cliquez ICI

Comment éviter, pour ces (ir)responsables politiques, d’apparaître comme coupables d’avoir laisser se développer, pour des raisons électoralistes, clientélistes et démagogiques, les communautarismes « religieux », les coutumes et mœurs en contradiction avec la laïcité égalitaire, les prêches et appels en public, en caves, en mosquées plus ou moins clandestines aux meurtres, à la désobéissance civique…sans jamais avoir osé prendre de vraies sanctions envers ces pratiques dont chacun, au moins ceux qui se prétendent « responsables », ne pouvait ignorer les graves conséquences que ces dérives « sectaires » causeraient non seulement pour le soi-disant « vivre ensemble » mais surtout pour l’intégrité physique de ceux qui, immanquablement, seraient perçus comme ennemi(e)s, comme obstacles, de par ce qu’ils peuvent représenter comme figures, emblèmes des institutions publiques, de ces militants fanatiques voire de terroristes occasionnels dont le seul but est d’imposer leurs lois « religieuses » qui, dans les faits, ne portent qu’un seul nom, celui de l’islamisme intégriste, liberticide, fasciste?!.

Alors d’attaques terroristes en meurtres islamistes, annoncés, partagés et postés sur les réseaux sociaux, les « élites » médiatico-politiques qui, apparemment et contrairement au « peuple » sur les réseaux sociaux, sont les seuls à n’avoir rien vu, rien dit, rien empêché, se disent horrifiés par le contenu des réseaux sociaux et en arrivent à la seule conclusion qu’il faut absolument les brider et bannir tous ces messages haineux qu’ils ne sauraient tolérer au titre (habituel) de protection et de service à la population.
Jamais ils ne se posent la question de savoir pourquoi alors que l’identification, la poursuite des individus, abrités ou non derrière un pseudo, auteurs de ces contenus est, grâce et non à cause, tout à fait possible (adresse ip) sur ces réseaux sociaux publics, ils se montrent incapables de faire ce pourquoi ils sont payés: leur boulot de surveillance!.
En fait, ils savent qu’ils ont failli, que ces manquements de vigilance sont une des causes des pertes civiles auxquelles, plutôt que de rendre, post-mortem, hommage en discours et médaille, ils feraient mieux de s’atteler au repérage systématique de ces dérives contraires à la sacro-sainte liberté d’expression dont ces fanatiques se parent pour gangréner la société qui les reçoit, les héberge!.

Au final, on peut malheureusement faire confiance aux pouvoirs politico-médiatiques pour sanctionner l’espace public ouvert aux réseaux sociaux libres et de renvoyer tous ces prêcheurs de haine, privés d’accès, sur le Darknet pour y haranguer, en toute discrétion et en quasi impunité, leurs partisans et réussir à transmettre efficacement leurs appels aux meurtres, au terrorisme.
Voilà ce que ceux qui s’indignent des vidéos et autres messages publics incitant aux actes terroristes (qu’ils n’ont pas vu ou fait semblant de ne pas voir…) auront gagné.
Un monde souterrain qui agira au détriment des citoyens qui n’auront même plus, eux non plus, la possibilité d’apercevoir ce que les autorités ne voient apparemment jamais…
Le premier « avantage » pour ces pouvoirs politico-médiatiques est qu’il ne pourront plus être accusés d’imprévoyance ou pire, de laxisme!.
Le second « avantage » pour ces pouvoirs politico-médiatiques est qu’ils seront débarrassés de la concurrence, de la remise en cause, des rappels de mensonges ou contre-vérités politiques et/ou des critiques à l’égard d’informations plus proches de la propagande que de l’objectivité des faits ou dires…
Alors, et pour tout ce qui précède, il est urgent qu’ils détournent l’attention citoyenne, qu’ils l’orientent et se trouvent un nouveau bouc émissaire:
Les réseaux sociaux sur Internet…
Ces espaces de libertés, de contestations qui, d’ailleurs, dérangent autant les politiciens que les médias qui les perçoivent comme des concurrents nuisibles à leur pouvoir!.

Cet article fait partie de la Sélection AGORAVOX
Pour le lire, le noter et le commenter directement sur ce site, cliquez ICI