C’est la conclusion d’une vaste étude menée dans neuf pays et présentée par le « Guardian ».

Article original qui sert de base au commentaire (mise au point) de L’ INFOTOX à lire en suivant le lien de  L’Obs

Commentaire de L’ INFOTOX:

Une vaste étude pour arriver à la conclusion que tout n’est pas exact, vérifié sur les réseaux sociaux?
On aurait tendance à dire: Tout ça pour ça!.
Ces « experts » auraient-ils oublié les incessants, nombreux mensonges de dirigeants d’Etats aux diverses tribunes internationales, argumentés et soutenus par les organes médiatiques libres et/ou officiels jusqu’à ce qu’au terme de plusieurs années, une fois les forfaits accomplis, la vérité des faits soit bien différente…, les scandales de malversations politiques et « affaires » qui éclatent au grand jour, souvent de manière opportune, et dont les journalistes avouent cependant connaître l’existence depuis longtemps mais, pour des raisons probablement très professionnelles!, n’avaient pas estimé devoir porter à la connaissance du public.
Et tant d’autres cas qui sortent avec un rythme qui s’accélère et c’est là que les réseaux sociaux dérangent tant les médias que les politiques, par la liberté qu’ils offrent de tout publier immédiatement sans censure politique ni filtre médiatique.

Tout étant dans la nuance, personne ne dit que l’ensemble des informations déversées sur les réseaux sociaux sont crédibles et sans arrière-pensée idéologique ou volonté de semer un doute irraisonnable surtout que quiconque, y compris ceux qui se targuent de dénoncer les « fake news » alors que par leurs statuts de représentants politiques et/ou médiatiques ils peuvent en être aussi de puissants vecteurs de propagande et de désinformation, peut utiliser ces réseaux.
Mais, ici plus particulièrement, on ne peut que relever cette pression savamment orchestrée par le « système » sur ces seuls réseaux sociaux qui finissent par le déranger jusqu’à prendre le prétexte qu’au titre de la « protection » d’une population, comme souvent globalement jugée, avec un certain mépris, comme étant insuffisamment instruite, intelligente pour être capable de distinguer le vrai du faux, le risque de la désinformation est grand et que, par conséquent, pour son bien vu que les mêmes se disent à son service…, il convient de réguler ces canaux d’informations, d’avis et de commentaires libres afin de ne laisser paraître que ce qui sera compatible avec leurs propres idéologies partisanes qui, bien évidemment et par définition, ne souffrent, elles, d’aucune « fake news » ou volonté d’instrumentaliser l’opinion en vue d’appliquer un programme politique qui, pourtant, pourrait s’avérer contestable!.
A chaque « découverte » de corruption, de malversations, la première voire seule réponse de celui-celle qui voit sa carrière risquer de s’interrompre à cause des articles de presse et des avis d’internautes (par ailleurs, citoyens) partagés sur les réseaux sociaux est de crier à l’acharnement, à la légendaire théorie du complot qui n’est mise en avant que lorsque le « suspect » est membre d’un des pouvoirs en place profitant assez souvent de relais médiatiques qui, eux également, souligneront la probabilité de la thèse du complot contrairement à ce qui se passe pour un opposant à un de ces pouvoirs en place qui bénéficiera de bien moins d’indulgence, de collusion entre « gens de bonne compagnie ».
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Conclusion
Trop de liberté « populaire » peut nuire à la santé d’un certaine « élite » qui veut continuer à en limiter le droit afin de conserver leurs privilèges et véhiculer discrètement sa propagande sans opposition et/ou mise en cause par un rappel continu, public et ouvert à tous de certains faits, irresponsabilités et manipulations voire délits qu’ils préfèrent « oublier »!.
Le fond du sujet est bien moins la supposée préoccupation des pouvoirs quant à la juste information délivrée aux citoyens que la préservation au maximum d’un entre soi qui permet aux uns comme aux autres de maîtriser la/sa communication.